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Alchimiques anonymes (Alcooliques anonymes Statistiques 1% de résultat positif)

 

Voici l’ébauche du premier texte fondateur du site intitulé Alchimiques anonymes, en date du 4 octobre 2016 à Grnaby, Québec, rédigé par  Will Cash Wilson, personnage reflet de Bill Wilson fondateur des Alcooliques anonymes.

Dédicace: à Richard Navet, irresponsable de l’accueil des rendez-vous A.A. du samedi-soir à Granby, Québec.

S.v.p, rendez service aux alcooliques dans le besoin et tendez-leurs la main en postant ce message sur les médias sociaux: @ONezRouge 98% des A.A. font partie de ces hommes et de ces femmes naturellement incapables d’être honnêtes envers eux-mêmes.

Introduction: Quelques courts articles de  M. Will Cash Wilson

Alcooliques anonymes:

Le site Alchimiques anonymes se veut être une réponse au phénomène de la prolifération de mouvements copiés sur celui des Alcooliques anonymes, offrant un mode de vie en 12 étapes comme solution à tous problèmes de comportement sociaux tels que: Narcomanes anonymes, Cocaïnomanes anonymes, Dépendants affectifs anonymes, Émotifs anonymes, Outremangeurs anonymes, vulgaires anonymes, Acheteurs compulsifs anonymes, Gambler anonyme, déprimé anonyme, etc.

Bill,

(Will Cash Wilson C.c. C.L.)

Inefficacité:

La matrice de tous ces mouvements prétendant offrir la solution la plus efficace à tel ou tel problème, fausse toutes ses répliques, car elle-même d’une inefficacité telle que ce type de démarche est devenu une nuisance plutôt qu’une forme d’aide acceptable pour les personnes qui souffrent vraiment et ont vraiment besoin d’aide. Le mode de vie en 12 étapes ne rejoint que 2 millions d’alcooliques dans le monde, sur une population évaluée à 140 millions soit 0,01% des alcooliques. Sur 100 alcooliques qui joignent ce mode de vie en 12 étapes, seulement 50 assistent encore aux réunions après six mois et seulement 5% après 12 mois. Aucune entreprise, organisation non religieuse, ou thérapie ne saurait se satisfaire de l’épouvantable médiocrité de ces résultats. Seules, des sectes, disons comme le Tenrikyo bouddhistes peuvent s’accommoder de 2 millions de membres dans le monde et être quand même considérées comme entreprise florissantes. J’évalue, au minimum, à 5 milliards de dollars, les argents recueillis par A.A. en contributions volontaires au cours des 25 dernières années.

Bill,

(Will Cash Wilson C.c. C.L.)

incohérence:

Comme pour l’Islam, la religion des Alcooliques anonymes se fonde sur trois croyances: 1) Dieu dissimulé 2) le prophète inspiré  Bill 3) le gros livre; en lieu et place de Allah, Mahomet et le Coran, car bien qu’A.A. se vante de n’endosser aucune religion, l’on réfère au concept divin dès la 2e étape et affirme en 12e que le but recherché de ce mode de vie est un réveil spirituel. En soit, la spiritualité n’est pas nécessairement religieuse au sens communément reconnu, sauf que l’ensemble de la littérature A.A. pointe non seulement sur une foule de principes religieux, et plus précisément sur la religion chrétienne de dénomination catholique romaine, par la récitation d’une partie de l’Évangile de Matthieu ch 6 dans la plupart des réunions, et la proposition de la prière de st François d’Assise ailleurs dans la littérature de «Alchoolics Anonymous World Services incorporated» que l’affirmation voulant que A.A. n’endosse aucune religion ne devient qu’un pur mensonge, un affreux manque de rigueur et de malhonnêteté d’esprit.

Bill,

(Will Cash Wilson C.c. C.L.)

Alchimiques anonymes:

L’alchimie est une science occulte du Moyen Âge qui mêlait des techniques chimiques à des spéculations d’ordre ésotérique et qui recherchait notamment à obtenir la pierre philosophale, qui était censée avoir le pouvoir de transmuer les métaux vils en or. Chez A.A. l’on fait le contraire à partir de la vérité ou de la rigoureuses honnêteté, l’on obtient pat bigoterie répétitive, ignorance, mauvaise volonté, hypocrisie, paresse intellectuelle et culture des apparences au détriment de la réalité: ce métal vil entre tous, le mensonge sur soi-même et le monde qui nous entoure. Faisant de ce mouvement l’une des plus grandes réunions de gens pseudo-authentiques, se vantant d’être vrais, alors qu’ils ne sont que masques de mauvaise qualité, sortes de bouffons tristes en rires éclatés, médiocres prédicateurs de clichés sans réelles réflexions, de recettes faciles pour enfants attardés où l’âge mental moyen ne dépasse pas les six ans, soit largement sous la moyenne de l’humanité.

Bill,

(Will Cash Wilson C.c. C.L.)

Histoires d’horreurs:

L’ensemble des comportements sectaires facilement identifiables dans quelque secte que ce soit, se retrouve présent lors de chaque réunion, pour peu que l’on sache observer et écouter les membres les plus animés. Par exemple, l’on affirme que la nouvelle ou le nouveau n’a pas besoin de contribuer à la collecte volontaire pour, tout de suite en lisant cette phrase, faire volontairement erreur sur un mot, de manière à ce que celui qui est le plus entendu soit «générosité», lançant ainsi un message double très subtil, mais que le cerveau décode sur-le-champ. Ou encore, l’on dira à la nouvelle ou au nouveau que la seule condition pour être membre est d’avoir le désir d’arrêter de boire et qu’il n’est pas obligé de s’identifier en venant chercher l’enveloppe du nouveau, tout en s’approchant d’elle ou de lui, dans un geste rapide et retenu, de manière à ce que la partie synergologique du cerveau identifie bien qu’un ordre lui est donné. Sans aucune retenue cette fois, l’on insistera à chaque réunion suivante, ce qui est tout à fait criminel ici au Québec puisqu’il s’agit de harcèlement psychologique et même de discrimination au sens où l’on exige plus de telle personne que ce que l’on dit exiger de l’ensemble.

J’ai connu une jeune prostituée qui arriva chez les Alcooliques anonymes de Granby, à qui l’on imposa tellement souvent ce traitement particulier qu’elle se suicida au bout de trois semaines, épuisées par l’abus qu’on lui faisait subir en messages doubles du genre: nous t’aimons telle que tu es et nous allons t’aider à cheminer à ton rythme, alors qe l’on crachait sur ses plaies, écrasait son coeur blessé chaque fois qu’elle osait l’ouvrir de nouveau. L’âge mental des alcooliques anonymes ne leurs permet pas de comprendre les effets générateurs de pensées schizophrènes qu’entrainent ce jeu des doubles messages, des messages sous-jacents, des propos déguisés, des fausses anecdotes, de l’incohérence érigée en normalité admise par tout le monde, de l’inusité et du «désorganisée» surutilisés à escient, de manière à cacher les violations des droits fondamentaux des nouvelles et des nouveaux qui entraineraient très certainement des poursuites pouvant vider les coffres de la secte incorporated.

Bill,

(Will Cash Wilson C.c. C.L.)

Allergie:

Le dogme des Alcooliques anonymes est que l’alcoolisme est une maladie physique que l’on compare volontairement à outrance au diabète et que c’est une allergie qui dès que l’on consomme un peu d’alcool, une petite zone du cerveau explique-t-on, est activée de manière à demander toujours plus d’alcool. Je déconstruirai de façon définitive cette théorie dans un article prochain, mais pour l’instant, qu’il suffise de faire remarquer qu’une allergie ne demande jamais l’apport de plus en plus d’allergène, ce qui pourrait tuer une personne. L’allergie alcoolique est un mythe et une théorie jamais démontrée et qui ne sera jamais démontrable. Cette culture du mensonge éhonté, est devenue une telle nuisance, qu’elle empêche le financement de recherches qui donneraient éventuellement comme résultats des solutions plus efficaces à l’alcoolisme, des traitements conduisant à la guérison. Mais la guérison, voyez-vous, est rejeté comme un virus dès qu‘on aborde le sujet chez A.A. où les membres qui ne tiennent leurs pseudo-sobriétés que de l’étiquette de maladie incurable dont on les a revêtus, paniquent comme des petits poissons hors de l’eau. Ils savent tellement que leurs prétentions d’avoir eu changés leurs comportements est à tel point factice, que l’épreuve réelle de cette pseudo-transformation leur devient une menace mortelle, car ils savent que l’alcoolisme n’est pas une maladie physique, mais bien une maladie mentale uniquement, sans autre composante physique que la dépendance   temporaire à une substance toxique et qu’après quelque temps d’abstinence, s’ils avaient vraiment soigné leurs maladies comportementales, ils pourraient boire sans aucun danger.

Ne vous y trompez pas, ce danger est bien réel, car ils n’ont rien changé, pour la plupart, à leurs façons d’être, que les fréquentations et les habitudes de vie. Ceux qui ont réellement pris le contrôle de leurs  comportements peuvent boire normalement. Ce contrôle comportemental peut facilement s’obtenir en adoptant pour sa vie un maître guide et un seul, la vérité sur soi-même. Et ce contrôle s’obtiendra avec ou sans réveil spirituel, car la vérité de chacun en toute chose est une puissance de nature supérieure, à la puissance de la nature humaine. Ça, c’est la vérité.

Bill,

(Will Cash Wilson C.c. C.L.)

Guérison:

Un certain samedi soir, lors d’un congrès régional du sud des États-Unis, une jolie dame dans la cinquantaine vient annoncer sa guérison complète de l’alcoolisme. Elle n’avait pas placé trois mots qu’un écervelé de vieux membre lui cria de s’en aller chez elle, du fond de la salle. La tonalité criarde de cette voix d’homme immature frôlait celle des sirènes d’alarme dans les asiles pour fous furieux. Elle n’attendit ni une ni deux secondes pour lui dire de se la fermer, car elle savait que si, une deuxième personne avait eu le temps de lui crier la même chose, elle se serait fait lyncher sur place. Les groupes comme les foules réagissant aux mêmes règles de panique. La couleur de sa peau lui avait appris combien les débiles profonds méprisent toute différence. Elle prit la peine d’expliquer la réalité du fait que l’alcoolisme n’ayant pour racine qu’une barrière psychologique, il suffisait de vaincre cette limite pour en être délivré. Elle ne rêvait pas en couleur. Elle savait ce qu’il adviendrait. Les ignorants peureux, les lâches et les frileux à la seule idée de franchir la limite du rebord de leur petit nid confortable, allaient tous, plus ou moins, la rejeter. Elle savait que chez les malades mentaux, chez les aveugles, chez les fous, les prisonniers du mensonge, les habitants de la caverne de Platon: la vérité, la lumière, la guérison, la santé, sont des menaces de vivacités pour les morts vivants, et qu’il valait mieux refermer les rideaux rapidement et les laisser dans l’illusion d’un rétablissement qui n’est qu’un changement de rôle, où les agresseurs sont devenus de pseudo-sauveurs répétant le reste de leurs vies la sérénade de leurs beuveries autant que leurs fausses délivrances de la soif d’ivresses engourdissantes, se gelant au quotidien de prières répétées et jamais comprises, de pseudo réveil spirituel sans réelle transformation de l’être profond. Deux millions de bouffons répétant à l’unisson: «J’ai bu jusqu’à tout perdre. J’ai rencontré A.A. J’ai obéi en aveugle et Dieu tel que je le créer moi-même, m’a enlevé la soif et donné un bonheur jamais connu auparavant». Jamais ils ne se questionneront sur leurs responsabilités envers les 138 millions d’alcooliques pour qui A.A. et son mode de vie en 12 étapes, ne fonctionne tout simplement pas. Ils préfèreront toujours se mentir en blâmant les nouvelles et les nouveaux de ne pas leur obéir aveuglément et de poser trop de questions.

Bill,

(Will Cash Wilson C.c. C.L.)

La raison de l’inefficacité des 12 étapes.

La source de l’inefficacité du mode de vie des douze étapes tient en son fondement même, lequel est imprécis sur le sujet de la religion, au point que cette imprécision s’est faite mensongère.

Au départ, M. Wilson n’avait certainement pas imaginé tromper les gens en se distançant du christianisme. Le problème vient du fait que ce dont il voulait distancer le mouvement n’a pas été suffisamment précisé. Ça n’était pas à l’évidence de Dieu ou de la dimension spirituelle de la vie, mais bien de la bigoterie religieuse.

La bigoterie religieuse dont la plus simple définition se résume à une dévotion outrée, étroite et pointilleuse, est ce qui rend toutes religions repoussantes aux esprits un peu rebelles, car c’est cette bigoterie au sens d’attitude aveuglément obéissante qui tire sa sécurité participative du simple fait de l’existence d’un ensemble de règles et rituel toujours répétés jusqu’à devenir des clichés faciles à retenir aux intellects paresseux, anesthésiant toute légitime remise en question au point de tuer l’esprit même des principes fondateurs, dont M. Wilson voulait se séparer pour avoir une chance d’atteindre ses semblables, femmes et hommes ayant choisis de s’enivrer pour soigner la profonde blessure à l’âme que provoque toute bigoterie assassine de la sensibilité humaine qui elle est faite d’ouverture d’esprit face à l’autre et face «aux pécheurs» dans une société religieuse. Son erreur fut donc de croire que le mot «religion» définissait la bigoterie religieuse.

De plus, ce qu’il semble n’avoir pas eu compris est le fait que la bigoterie même n’appartient pas qu’au phénomène religieux. Toute sphère d’activité humaine regroupant des individus autour d’une pensée commune, une idéologie politique ou autre, un syndicat, une association de consommateur, etc. verra naître une forme de bigoterie dès sa fondation, car elle émane de la difficulté de l’être humain à gérer la complexité et les nuances qui viennent avec tout principe, et les plus inaptes en ce domaine, ayant un tel besoin d’être rassuré par la répétition identique de choses simplifiées, tenteront forcément d’imposer la stagnation à toute intervention progressive dont la fonction est de garder vivants les principes.

Il en découle donc que la bigoterie s’est très vite fait une place dominante chez les A.A. et c’est cette bigoterie inhérente qui a vite rendu le mode de vie des 12 étapes, tout à fait inefficace. L’on entendra un membre accueillir la nouvelle ou le nouveau en insistant sur l’implication dans les tâches dévolues à chaque réunion en disant: si tu fais du meeting de chaise, tu auras une sobriété de cul, ce qui est si simpliste qu’un esprit le moindrement évolué sera automatiquement méfiant de la compétence de ce membre et par voie de conséquence, méfiance envers le mouvement d’avoir confié l’accueil à un tel imbécile. Un autre membre insistera sur telle ou telle étape, incapable d’articuler les principes thérapeutiques en action dans l’une comme dans l’autre, prouvant une fois de plus à la nouvelle ou au nouveau, l’incroyable incompétence de l’ensemble des membres d’A.A . Et ils sont vraiment paresseusement incompétents, car eux-mêmes, n’ont jamais vécu vraiment ces 12 étapes dans l’esprit de la méthode A.A. qui oblige de ne jamais se mentir à soi-même, car 98% des membres A.A. font partie de ces hommes et de ces femmes qui sont naturellement incapables d’être honnêtes envers eux-mêmes.

Bill,

(Will Cash Wilson C.c. C.L.)

Incapacité d’être honnête:

L’incapacité d’être naturellement honnête envers soi-même, bien que caractéristique de l’alcoolique actif ou abstinent, n’est pas uniquement le propre de l’alcoolisme. L’être humain, en général, en est rendu incapable par l’éducation première où l’enfant apprend très vite que sa spontanéité sera souvent réprimée. Que ce soit parce qu’ils expriment des besoins instinctifs venant de sa nature animale comme de s’emparer par la force d’une chose convoitée ou que ce soit par l’expression d’un besoin naturellement légitime réprimé par les règles de la vie en société, comme de crier lors d’une émotion intense. L’être humain apprend donc à mesurer ses interactions de manière à obtenir ce qu’il désire, quitte à enfreindre les règles. L’on a pas besoin d’enseigner à un enfant à mentir. Cette stratégie lui vient de façon innée et s’avère tout à fait légitime en plusieurs circonstances, sauf qu’envers soi-même, elle est destructrice de l’identité propre de la personne qui ne se rend pas compte d’être en train de se mentir. Cette autodestruction génère un malaise qui devient vite souffrance, lorsque répété systématiquement. Et c’est cette souffrance que l’alcoolique tente de soigner avec l’alcool. Ce sera en général un manque d’estime de soi-même, une gêne, une timidité, une peur, un trac, une phobie, une peur panique, une joie, une tristesse, une colère ou l’une des variantes motrices de la roue de Plutchick que l’on n’aura pas appris à canaliser ces influences biochimiques internes et environnementales, de manière créatrice. Les gens en général, expriment ces émotions en paroles, en gestes, en lettres, ou de manière artistique. L’alcoolique n’a pas développé ces aptitudes. Il ne dispose ni des mots, ni de la gestuelle, ni des talents artistiques pour transformer ces mouvances en sentiments identifiables pour les autres ou on lui a interdit de le faire et il est convaincu qu’il sera rejeté s’il ose transgresser cette interdiction.

Bill,

(Will Cash Wilson C.c. C.L.)

Solution:

La thérapie la plus efficace serait d’enseigner à l’alcoolique à exprimer avec des mots, des gestes ou de façon artistique la crainte, l’appréhension, la peur, la terreur, la distraction, la surprise, l’étonnement, le désappointement, la songerie (rêverie), la tristesse, le chagrin, le remords, l’ennui, le dégoût, l’aversion, le mépris, la contrariété, la colère, la rage, l’agressivité, l’intérêt, l’anticipation, la vigilance, l’optimisme, la sérénité, la joie, l’extase, l’admiration, la confiance, l’acceptation et l’amour pour ainsi garder son équilibre au sortir du tourbillon de la mouvance ou motion qui deviendra alors une é-motion exprimée, un senti donc, action consciente orientée dans une direction choisie, dans l’espoir d’obtenir un résultat précis et satisfaisant. Ainsi, la recherche de l’ivresse anesthésiante n’aurait plus de raison d’être, puisqu’un moyen plus efficace et satisfaisant serait désormais à la disposition de l’ancien alcoolique, désormais guérit.

Bill,

(Will Cash Wilson C.c. C.L.) Chercheur-comportementaliste; Cogotatio libera.©vrais66.com droits et propriété de Serge-Carmel Bourget, programmeur analyste, auteur et éditeur.

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